Numéro 3, 2011

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Numéro 3, 2011

 

Un service aux membres destiné à vous renseigner sur de nouvelles publications importantes, utiles à votre pratique.

Pour cette édition du JADC Express, le JADC s'est allié à la Faculté de médecine dentaire de l'Université Dalhousie. Des enseignants de l'Université Dalhousie répondent à des questions cliniques fréquemment posées en accédant à des articles de recherche de la littérature scientifique.

Les sujets couverts sont le déficit en pseudocholinestérase, la comparaison des greffes gingivales, les urgences dentaires chez les patientes enceintes, l'esthétique et les couronnes antérieures, les saignements postopératoires chez les patients qui prennent de la warfarine ou de l'aspirine, et l'effet des protecteurs buccaux sur la performance des athlètes.

Le JADC se réjouit de continuer à former des partenariats avec les facultés de médecine dentaire du Canada afin de communiquer aux dentistes les derniers travaux de recherche qui sont pertinents pour leur exercice clinique.

Le JADC tient à remercier les généreux éditeurs des articles sélectionnés qui offrent un accès gratuit aux articles intégraux jusqu'au 18 avril 2011. Pour en savoir plus sur ces publications, cliquez sur les liens dans la section Notes et nouvelles.

Vous pouvez maintenant nous suivre sur Twitter si vous désirez demeurer au courant de tout nouveau matériel clinique et scientifique qui est publié dans le jcdaf.ca. N'hésitez pas à m'envoyer un courriel ou un microbillet («tweet») avec vos suggestions de sujets à aborder dans les prochains numéros du JADC Express.

Cordialement,

Dr John P. O'Keefe
Rédacteur en chef du JADC
jokeefe@cda-adc.ca



   

Le Dr Curtis Gregoire est professeur agrégé au Département de chirurgie buccale et maxillofaciale, Faculté de médecine dentaire, Université Dalhousie.

Question clinique: Puis-je administrer un anesthésique local à un patient qui a un déficit en pseudocholinestérase?

Soliday FK, Conley YP, Henker R. Pseudocholinesterase deficiency: a comprehensive review of genetic, acquired, and drug influences. AANA J. 2010;78(4):313-20.

L'accès à la version intégrale de cet article est expiré.

Points clés :

  • Cet article présente un examen exhaustif du déficit en pseudocholinestérase, y compris de sa pathophysiologie, de ses fondements génétiques, des tests disponibles et des médicaments à éviter.
  • Les auteurs ont fait un recensement des revues scientifiques de langue anglaise et y ont relevé quelque 250 articles.
  • Les auteurs passent en revue les conditions acquises, les médicaments qui influencent l'activité enzymatique et les traitements possibles de cette maladie.
  • Ils notent également que l'incidence du déficit en pseudocholinestérase est légèrement plus élevée dans la communauté indienne hindoue d'Arya Vysya.
  • L'article insiste sur l'importance pour les personnes qui pratiquent des anesthésies, y compris les dentistes, d'avoir des connaissances sur le déficit en pseudocholinestérase.
  • Il faut éviter l'usage de la succinylcholine, du mivacurium et d'anesthésiques locaux de type ester chez les patients qui ont un déficit en pseudocholinestérase, car ces patients pourraient ne pas être en mesure de métaboliser ces anesthésiques.

Pourquoi recommander cet article :

Le déficit en pseudocholinestérase est une rare anomalie des enzymes plasmatiques, qui peut être acquise ou héréditaire. Cette maladie peut mettre la vie du patient en danger si elle n'est pas dépistée avant l'administration de certains types d'anesthésiques. Les dentistes doivent être informés de l'importance d'éviter d'administrer des anesthésiques locaux de type ester aux patients atteints d'un déficit en pseudocholinestérase. Même si ces anesthésiques ne sont pas utilisés couramment dans la pratique clinique en Amérique du Nord, ils sont souvent employés dans les cas présumés d'allergie aux anesthésiques locaux de type amide ou lorsque les vasoconstricteurs sont contre-indiqués.

La Dre Tamara Wright est professeure adjointe à la Division de parodontologie et de douleur buccofaciale, Faculté de médecine dentaire, Université Dalhousie.

Question clinique : Quels sont les avantages et les inconvénients des greffes gingivales libres par comparaison aux greffes de tissus conjonctifs?

Zucchelli G, Mele M, Stefanini M, Mazzotti C, Marzadori M, Montebugnoli L, et al. Patient morbidity and root coverage outcome after subepithelial connective tissue and de-epithlialized grafts: a comparative randomized-controlled clinical trial. J Clinical Periodontol. 2010;37(8):728-38.

L'accès à la version intégrale de cet article est expiré.

Points clés :

  • Les greffes gingivales libres (GGL) et les greffes de tissus conjonctifs (GTC) sont souvent pratiquées pour l'augmentation des tissus mous chez les patients avec récession gingivale.
  • Il existe une certaine confusion quant aux buts et aux limites de ces procédures, ainsi qu'aux différences dans l'inconfort postopératoire qu'elles peuvent causer chez les patients.
  • La GGL est surtout pratiquée pour accroître la largeur ou l'épaisseur de la gencive attachée sur des dents présentant une importante récession gingivale. Cependant, le recouvrement radiculaire obtenu avec cette technique varie considérablement et pourrait en fait ne pas être le but de la GGL.
  • L'esthétique de la GGL peut également laisser à désirer, en raison des différences de teinte entre le greffon et les tissus adjacents.
  • La GTC est la technique de recouvrement radiculaire qui permet d'obtenir les résultats les plus prévisibles et qui peut donner un effet plus esthétique que la GGL. La GTC pourrait toutefois être impossible à réaliser chez des patients dont la profondeur vestibulaire est insuffisante ou dont les tissus mous sont très minces dans la zone donneuse ou receveuse1.

Pourquoi recommander cet article :

On croit généralement qu'une GGL cause davantage de douleur et de saignements postopératoires dans la zone de prélèvement qu'une GTC1,2. Selon les auteurs, il n'y a pas de différence significative en matière d'analgésiques postopératoires utilisés, de niveau d'inconfort ou de saignement entre les GGL et les GTC prélevées du palais.

La douleur postopératoire semble plutôt être liée à l'épaisseur de tissus mous dans la zone de prélèvement – une épaisseur réduite après la greffe augmentant la douleur – ainsi qu'avec la durée de la procédure. Les auteurs décrivent également une variante de la GTC qui allie certains avantages de la GGL avec ceux de la GTC plus classique. Cet article nous rappelle la nécessité de revoir certaines opinions de longue date sur des techniques établies en dentisterie à la lumière des données et des techniques nouvelles.

Références

  1. Newman MG, Takei HH, Klokkevold PR, Carranza FA. Carranza's clinical periodontology. 10th ed. St. Louis: Saunders Elsevier; 2006.
  2. Griffin TJ, Cheung WS, Zauras AI, Damoulis PD. Postoperative complications following gingival augmentation procedures. J Periodontol. 2006;77(12):2070-9.
    

Le Dr Chris Lee est professeur adjoint et directeur de la clinique d'urgence, Faculté de médecine dentaire, Université Dalhousie.

Question clinique : Comment devrais-je traiter une femme enceinte qui consulte pour une urgence dentaire due à une dent qui ne peut être restaurée et à une douleur spontanée?

Giglio JA, Lanni SM, Laskin DM, Giglio NW. Oral health care for the pregnant patient. J Can Dent Assoc. 2009;75(1):43-8.

Points clés :

  • Le traitement dentaire d'urgence d'une femme enceinte qui a une douleur ou une infection devrait être dispensé sans tarder.
  • La prise de radiographies est sans danger pour la femme enceinte et son fœtus, à la condition d'utiliser certaines précautions, notamment l'utilisation d'un tube à faisceau collimaté et d'un tablier plombé avec cache-thyroïde.
  • En ce qui a trait aux anesthésiques locaux, la lidocaïne et la prilocaïne devraient être les anesthésiques de premier choix pour les femmes enceintes. La FDA a classé ces médicaments dans la catégorie B, une classification qui indique une absence de risques pour le fœtus sur la base d'études sur des animaux.
  • L'articaïne, la mépivicaïne et la bupivicaïne sont toutes classées dans la catégorie C selon la FDA; cette classification indique que des études sur des animaux montrent un risque pour le fœtus mais qu'aucune étude contrôlée sur des humains n'a été réalisée. Les cliniciens devraient donc utiliser ces médicaments avec prudence1.
  • En ce qui concerne les analgésiques, l'acétaminophène est le médicament le plus sûr pour les femmes enceintes (catégorie B). Les AINS comme l'ibuprofène sont classés dans la catégorie B durant les premier et deuxième trimestres de la grossesse, mais dans la catégorie D durant le troisième trimestre (la catégorie D indique des risques pour le fœtus, sur la base d'effets indésirables observés durant des études sur des humains). Les AINS devraient donc être utilisés avec prudence1.
  • L'oxycodone peut être administrée si des analgésiques plus puissants sont nécessaires en situation aiguë, car ce médicament est classé dans la catégorie B2.
  • Les antibiotiques qui peuvent être utilisés sans danger pour le traitement d'infections chez des femmes enceintes sont la pénicilline, l'amoxicilline, la clindamycine, les érythromycines, les céphalosporines et le métronidazole (tous dans la catégorie B).
  • Il faut éviter la tétracycline, la doxycycline et la minocycline, car toutes trois sont classées dans la catégorie D2.
  • Petit conseil clinique utile concernant les femmes se trouvant au troisième trimestre de leur grossesse : mettre ces patientes en position demi-assise, avec un oreiller ou une serviette sous la hanche droite. Cette position permet de repousser l'utérus gravide et d'éviter qu'il appuie contre la veine cave inférieure, ce qui pourrait nuire au retour veineux au cœur et causer un choc postural2.

Pourquoi recommander cet article :

La prestation de soins dentaires de routine à une femme enceinte, et plus encore de soins d'urgence, peut causer de l'appréhension chez certains professionnels dentaires. Il faut toutefois savoir que les risques du non-traitement d'une infection évolutive durant la grossesse l'emportent largement sur les risques qui pourraient être associés au traitement.

Cet article (ainsi que les références citées) montre qu'il n'y a pas de contre-indications à dispenser des traitements dentaires d'urgence à des femmes enceintes, y compris des extractions, des traitements de canal et des restaurations. Il importe cependant que les dentistes connaissent les médicaments qui peuvent être administrés sans danger aux femmes enceintes et ceux qu'il faut éviter. En cas de doute, le dentiste devrait consulter l'obstétricien de la patiente.

Références

  1. Dellinger TM, Livingston HM. Pregnancy: physiologic changes and considerations for dental patients. Dent Clin North Am. 2006;50(4):677-97, ix.
  2. Suresh L, Radfar L. Pregnancy and lactation. Oral Surg Oral Med Oral Pathol Oral Radiol Endod. 2004;97(6):672-82.
    

Le Dr Richard Price est professeur au Département des sciences dentaires cliniques, Faculté de médecine dentaire, Université Dalhousie.

Question clinique : Quelles sont les meilleures techniques pour obtenir une esthétique des plus naturelles avec des couronnes antérieures, lorsqu'on cherche à dissimuler un tenon radiculaire ou une dent foncés? Est-il préférable d'appliquer un opacifiant sur la dent foncée, puis de procéder à la prise d'empreinte?

Son HJ, Kim WC, Jun SH, Kim YS, Ju SW, Ahn JS. Influence of dentin porcelain thickness on layered all-ceramic restoration color. J Dent. 2010;38 Suppl 2:e71-77.

L'accès à la version intégrale de cet article est expiré.

Points clés :

  • Les options pouvant être utilisées pour restaurer des dents antérieures avec des couronnes (p. ex., couronne céramo-métallique ou couronnes toutes céramiques diverses) sont nombreuses et il est difficile de déterminer quel type de couronne donnera le résultat le plus esthétique.
  • Une bonne préparation de la dent et le choix du matériau de reconstitution le mieux approprié sont deux facteurs déterminants qui peuvent fortement influencer l'esthétique du résultat.
  • Cet article montre dans quelle mesure le rapport d'épaisseur entre le pilier et la céramique influence l'esthétique finale des restaurations en céramique.
  • Les auteurs concluent que l'épaisseur de la céramique de teinte dentine influence moins la teinte des céramiques Lava que celle des céramiques IPS e.max Press.
  • Par conséquent, si l'espace pour l'application de céramique est limité, les auteurs recommandent une restauration constituée d'un pilier en zircone teinté recouvert de céramique, plutôt qu'une restauration faite avec une céramique monolithique IPS e.max Press.

Pourquoi recommander cet article :

L'esthétique d'une restauration en céramique dépend de multiples facteurs. L'effet de la translucidité de l'armature peut être altéré par l'épaisseur, la teinte et la texture en surface de la céramique de recouvrement, la technique de coloration de l'armature, ainsi que l'opacité et la teinte du ciment de scellement1. À titre d'exemple, les piliers métalliques ne sont pas du tout translucides et le choix du ciment n'aura aucune incidence. Les piliers en zircone sont beaucoup moins translucides que ceux en verre, en disilicate de lithium ou en alumine, et on peut camoufler la teinte de la dent sous-jacente en utilisant un pilier en zircone d'une teinte appropriée1,2. On obtient donc des résultats plus prévisibles en camouflant une dent foncée avec un pilier en zircone d'une teinte appropriée qu'en tentant d'opacifier la dent foncée avec de la résine (qui pourrait ensuite se décoller de la dent) avant la prise de l'empreinte.

De plus, les dentistes devraient utiliser des photographies et des modèles d'étude préopératoires pour améliorer les communications avec le laboratoire. Pour des résultats plus prévisibles, il est important de mentionner au technicien du laboratoire la présence de toute structure dentaire sous-jacente foncée ou de piliers métalliques devant être opacifiés et de lui envoyer des images incluant un guide de couleur de référence de la dent non préparée et de la dent préparée3,4.


Références

  1. Baldissara P, Llukacej A, Ciocca L, Valandro FL, Scotti R. Translucency of zirconia copings made with different CAD/CAM systems. J Prosthet Dent. 2010;104(1):6-12.
  2. Spear F, Holloway J. Which all-ceramic system is optimal for anterior esthetics? J Am Dent Assoc. 2008;139 Suppl:19S-24S.
  3. Christensen GJ. Improving dentist-technician interaction and communication. J Am Dent Assoc. 2009;140(4):475-8.
  4. Ohyama H, Nagai S, Tokutomi H, Ferguson M. Recreating an esthetic smile: a multidisciplinary approach. Int J Periodontics Restorative Dent. 2007;27(1):61-9.

Le Dr Archie Morrison est professeur agrégé au Département de chirurgie buccale et maxillofaciale, Faculté de médecine dentaire, Université Dalhousie.

Question clinique 1 : Mes patients sous warfarine devraient-ils interrompre la prise de ce médicament avant une chirurgie dentaire mineure à cause du risque d'hémorragie postopératoire?

Aframian DJ, Lalla RV, Peterson DE. Management of dental patients taking common hemostasis-altering medications. Oral Surg Oral Med Oral Pathol Oral Radiol Endod. 2007;103 Suppl:S45.e1-11.

L'accès à la version intégrale de cet article est expiré.

Points clés :

  • Cet article s'appuie sur les opinions et les commentaires formulés par les spécialistes des domaines de l'hématologie et de la médecine interne réunis au quatrième World Workshop in Oral Medicine qui s'est tenu en 2006.
  • Les auteurs présentent un vaste examen systématique et des recommandations qui reflètent les opinions cliniques dans le milieu de la chirurgie buccale.
  • Les auteurs discutent des bienfaits de l'application topique d'acide tranexamique pour contrebalancer les effets et aider à réduire au minimum les saignements postopératoires.
  • Les auteurs concluent qu'il n'y a pas lieu d'interrompre le traitement par la warfarine pour des chirurgies buccales mineures chez les patients dont le rapport international normalisé (RIN) est inférieur ou égal à 3,5.
  • Si le RIN est supérieur à 3,5, il est recommandé de diriger le patient vers son médecin en vue d'un ajustement possible de la posologie en prévision d'une chirurgie invasive.

Pourquoi recommander cet article :

L'article rappelle aux dentistes les raisons pour lesquelles des anticoagulants, y compris la warfarine, peuvent être prescrits. Il passe également en revue les effets de la warfarine chez nos patients.

Question clinique 2 : Mes patients devraient-ils interrompre la prise d'aspirine avant une chirurgie dentaire mineure à cause des risques d'hémorragie postopératoire?

Brennan MT, Valerin MA, Noll JL, Napenas JJ, Kent ML, Fox PC et al. Aspirin use and post-operative bleeding from dental extractions. J Dent Res. 2008;87(8):740-4.

Points clés :

  • Cette étude, qui a été menée avec l'autorisation du comité d'éthique, consiste en un essai clinique prospectif, à double insu et contre placebo, comparant une dose de 325 mg d'acide acétylsalicylique (AAS) à un placebo.
  • L'étude s'appuie sur des paramètres cliniques de l'hémorragie et sur les résultats de l'agrégométrie par impédance du sang total.
  • Les auteurs ont examiné divers paramètres pour la normalisation entre patients et l'examen des résultats.
  • Le nombre limité de patients (n = 36) et de procédures (seulement les extractions de dents uniques) examinés nuit à la robustesse des données présentées.
  • Sur la base de l'analyse statistique des résultats, les auteurs recommandent de ne pas interrompre la prise d'aspirine (325 mg par jour) avant l'extraction d'une dent unique.

Pourquoi recommander cet article :

Cet article présente une bonne synthèse des raisons justifiant l'usage prophylactique de l'aspirine chez les patients. Même si les auteurs ne jugent pas nécessaire d'interrompre le traitement par l'aspirine avant l'extraction d'une dent unique, d'autres recherches devront être menées avant de pouvoir étendre cette recommandation aux saignements postopératoires consécutifs à des extractions multiples.

     


Le JADC est l'organe officiel de l'Association dentaire canadienne, offrant un dialogue entre l'association nationale et la communauté dentaire. Il sert à publier d'intéressants articles scientifiques et cliniques et à informer les dentistes sur des sujets importants pour la profession.




NOTES ET NOUVELLES

Jetez un coup d'œil sur les publications qui paraissent dans ce numéro

AANA Journal
(éditeur: American Association of Nurse Anesthetists)

Journal of Clinical Periodontology
(éditeur: Wiley-Blackwell)

Journal of Dentistry
(éditeur: Elsevier)

Oral Surgery, Oral Medicine, Oral Pathology, Oral Radiology, and Endodontology
(éditeur: Elsevier)

Journal of Dental Research
(éditeur: SAGE)

Congrès de l'ADC 2011: Naviguer l'avenir – Nouvelles visions, bases historiques

Du 4 au 6 août à Halifax (N.-É.)

Le programme du congrès 2011 est maintenant disponible. Des sessions de formation continue seront offertes sur plusieurs sujets, dont la fraude dentaire, les mini-implants, la régénération pulpaire, les complications liées aux implants, le contrôle des infections, les anesthésiques locaux et la dentisterie pédiatrique.

Inscrivez-vous d'ici au 30 avril et courez une chance de gagner un chandail de hockey d'Équipe Canada autographié par Sidney Crosby.

Visitez www.cdaconvention2011.com

Congrès dentaire mondial de la FDI: New Horizons in Oral Health Care

Du 14 au 17 septembre à Mexico (Mexique)

Vous pouvez maintenant vous inscrire à la 99e édition du Congrès dentaire mondial de la FDI. Ceux qui s'inscrivent tôt pourront bénéficier de frais d'inscription réduits et d'un plus grand choix d'hôtels.

Visitez www.fdi2011.org

Conférence nationale de l'ACHD: Faire progresser la pratique de l'hygiène dentaire

Du 9 au 11 juin à Halifax (Nouvelle-Écosse)

La Conférence nationale de l'Association canadienne des hygiénistes dentaires aura lieu à l'hôtel Lord Nelson, à Halifax. Les hygiénistes et les autres membres de votre équipe dentaire ont jusqu'au 31 mars pour s'inscrire au tarif préférentiel. Visitez www.cdha.ca et cliquez sur les liens à la conférence.

Il est encore temps de participer au sondage sur le Plan de lutte contre la pandémie de l'ADC

En février, l'ADC a envoyé un courriel aux dentistes pour leur demander leurs commentaires sur le Plan de lutte contre la pandémie. Vos réponses à ce bref questionnaire confidentiel aideront l'ADC à se préparer à résoudre des problèmes de santé publique à l'avenir.

Lisez les petites annonces du JADC

Vous cherchez un emploi? Vous voulez vendre votre cabinet? Les petites annonces permettent de joindre tous les dentistes et étudiants du Canada.

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